PASCAL COLOMB / DOSSIER DE
PRESSE.
PREMIER ALBUM AUTOPRODUIT: BOULEVARD DE LA MER.
univarts .com
10 janvier 2006, par Marie Aguettant / rubrique « sur le grill »
10 janvier 2006
Musicien, réalisateur arrangeur, ingénieur du son réputé auquel font notamment appel Mickey 3D, Jipé Nataf ou Albin de la Simone, Pascal Colomb a sorti son premier album, qu’il a autoproduit.
On se laisse emporter Boulevard de la mer par les rames du canot qui glisse,
fluide premier album brouillant les sensations et les repères sur ses
pistes. Pascal Colomb, auteur-compositeur-interprète, vous y emmène
en ballade.
De paysages en souvenirs, de rendez-vous en ruptures, un décor ouvre
toujours sur un autre dans ce voyage aux multiples escales.
Quand ce ne sont pas les maracas ou les ukuleles, Pascal Colomb éclate,
distord les sons comme il poétise : mots, sentiments et émotions
sont découpés, recomposés dans ce « feuilleton de
toi et moi ». Les notes d’urgence ou de désespoir semblent
soudain s’envoler en cris de mouettes. On quitte le boulevard de la mer.
« Je »- ce pourrait être tu, moi, nous- « prends sur
moi cet hiver […] le vide que tu as laissé ». Entre mise
en abîme et mise en scène, Pascal Colomb s’est donné
le temps pour construire cet album, un titre répondant à l’autre.
Le train file. A la descente, réveil amer et « larmes du sumotori ». On siffle sur le bord de la route. Un petit air de Bagdad Café. Mais c’est l’éclaircie après la pluie, le chant de l’oiseau après l’orage. Tous les sens sont en éveil, le relief change avec les sentiments mouvants. « Pieds nus sur la braise », on rejoint l’Inde, en février. Les heures, les jours et les saisons se confondent au fil des chansons.
Dans le monde de nos rapports humains, Pascal Colomb, volontiers contemplatif, explore tous les possibles, invente « nos lendemains » et emmêle repères et codes pour réécrire les pages d’une histoire. Il offre le temps suspendu comme des ponts ensablés au-dessus de l’océan, « les étoiles à nos pieds ». On est « à des années de voilier » dans un univers musical qui bouleverse les perspectives spatio-temporelles avec ses lignes de fuite.
L’itinéraire débouche sur un nouveau continent, ce « jardin », cette « île de Pâques » portant les traces du voyage que Pascal Colomb a personnellement accompli et dont il rapporte ces morceaux choisis comme des coquillages ramassés sur une plage, des plumes et des « marguerites » dans un carnet.
Il a besoin de chanter, la composition est instinctive, l’écriture lui demande plus de travail, aussi parce qu’il est exigeant : il a besoin que ça sonne et ne peut pas développer une chanson qu’il sent moyenne pour revenir y piocher des bouts ensuite. Plutôt creuser 3 pistes parallèlement que de terminer un titre si après 10 reprises il n’est toujours pas satisfait. Orgueil ou méthode ? On penche pour la deuxième raison car Pascal Colomb ne va pas à la facilité avec son oreille de tueur et sa maîtrise du son. Franc-parler, pas de fausse pudeur de poète maudit. Pas de prétention, juste l’assurance qu’il a acquise et travaillée longtemps pour en arriver à cette confiance en lui ; elle n’exclut pas le doute mais permet d’identifier les vraies questions à se poser pour atteindre l’intemporalité.
On découvre l’album en se perdant pour mieux se trouver un peu à la manière du Grand Meaulnes. Autant d’écoutes, autant de portes à pousser pour entendre entre les mots, écouter entre les notes. Pascal Colomb aime prendre le temps, assumer ses lapsus et se dit « embêté » par la société de consommation. Son album livre le goût des petites choses (il préfère dire « l’authentique »), celles qui restent quand les autres passent, celles qu’on oublie de regarder dans une fuite en avant et sans lesquelles on ne construit pas.
On lui souhaite (à nos oreilles aussi) pour 2006 l’aboutissement de ses projets dont on ne peut pas encore parler mais on s’informera !
Il sera à Montbrison le 2 février pour le festival Polysons (salle des pénitents). N’hésitez pas à aller le voir après le concert, il adore le dialogue. Oui, Pascal, vous êtes accessible, c’est vrai.
Boulevard de la mer, en écoute sur radio néo, en vente Fnacs
Montparnasse, Ternes et Saint-Lazare et sur les sites Internet d’Albin
de la Simone et –M-
http://www.univarts.com/mag/article/1186.html.
RFI / LA BANDE PASSANTE.
1ère diffusion le 9 janvier 2006 / Interview de Alain Pilot / Emission
nouveaux talents
en écoute sur rfi.fr
LONGUEUR D'ONDES MAGAZINE .
décembre 2005 / par Alain Birmann
Véritablement abouti, ce premier album est une œuvre délicate
à mettre entre toutes les oreilles. L'auteur, ingénieur du son
réputé et musicien sollicité, en est l'unique artisan.
Albin de la Simone, JP Nataf, Bruno Maman, Mickey 3D...ont eu récemment
recours à ses divers talents.
Cette première échappée solitaire est une proposition de
chansons mélancoliques, présentées dans un écrin
feutré (notes égrenées, jamais martelées) particulièrement
caressant. Chantées d'une voix aux subtiles nuances, assez voisine par
endroits de celle de JP Nataf, elles captivent jusqu'à l'addiction.
Il n'y a rien à jeter dans ce disque, aucune facilité, aucune
surenchère, que du sensible, de l'authentique. Il se clôt, trop
vite, sur un titre magnifique, "Je suis un jardin", qui ne tarde pas
à s'incruster dans le cerveau.
L'excellence de Pascal Colomb, ne doit en aucun cas demeurer un secret pour
initiés, il est urgent d'assurer à son album une distribution
à sa dimension.
alain.birmann@wanadoo.fr
-
VIBRATIONS MAGAZINE .
novembre 2005. avec CD encarté.
Dossier "Matthieu Chédid présente".
Pascal Colomb a beaucoup donné aux autres, travaillé en tant
que musicien ou technicien du son, sur les albums d'Albin de la Simone, de Jp
Nataf, Mickey 3D, Etienne Daho ou Françoise Hardy…
Un jour, un besoin irrépressible de se mettre à son compte survient.
En ressort "Boulevard de la mer", un album autoproduit jusque dans
ses moindres recoins:
"C'était comme un rêve de tout faire sur un disque",
et ce de l'écriture à la pratique de tous les instruments, de
l'enregistrement au mixage, et jusqu'aux photos de la pochette.
"Montjavoux" (en écoute sur le cd encarté avec le n°
de novembre 2005 ndlr) est un indice particulier de l'album, puisque ce titre
a été peaufiné tout au long de la dizaine d'autres morceaux.
"Cette chanson est comme une introduction. Elle peut résumer tout
le disque.
Une mise en bouche!"
Matthieu Chédid:
Comme moi ce n'est pas un chanteur, mais un musicien qui se met à chanter. C'est un fan de mélodies, des Beatles, ses arrangements sont très soignés. C'est l'humilité par excellence.
LONGUEUR D'ONDES MAGAZINE .
novembre 2005 / par Alain Birmann
Le Satin Doll, dont la scène est d'ordinaire essentiellement dévolue
au jazz, a été ensuite le lieu de bien des émois. Pascal
Colomb, guitariste d'Albin et chanteur touchant, assurément la révélation
du festival, a lancé les hostilités. Ses chansons délicates
à la musicalité feutrée ont révélé
leurs subtils atours, lors d'une prestation "cosy" particulièrement
sympathique. Le public ne s'y est pas trompé en lui accordant de vifs
applaudissements.
sincever.com
septembre 2005, par Loyola Ranarison
Certes, nous sommes en automne, mais Pascal Colomb nous en met plein le coeur et les oreilles avec le grand air vivifiant de son premier album : "Boulevard de la mer" ou prenez tout droit la route de son imaginaire. L'album est déjà disponible dans quelques Fnac, et Pascal Colomb continue d'écumer les scènes pour présenter ses compositions. Il sera en concert le 28 septembre à 19h00 aux 7 Lézards à Paris, ainsi que le 7 octobre au Festival "Courants d'air" de Bordeaux, avec son grand complice Albin de la Simone et le 6 décembre à l’EUROPÉEN en première partie de Tom Poisson.
pascal-colomb@wanadoo.fr